La déclinaison des noms de famille en russe a sa proprecaractéristiques qui dépendent principalement de l'origine des mots. Même les philologues ont parfois du mal à répondre à cette question, surtout si un nom propre a deux variantes et que dans chacune d'elles il sonne correctement.
Une fin caractéristique pour les noms de famille russes sera-skiy (-skoy), -ov (-ev), -in (-yn). Cela inclut également les noms propres formés sans suffixe (par exemple, Tolstoï). La déclinaison des noms de famille de cette origine sera similaire au changement d'adjectifs. Par exemple, "Petrov Ivan", "Petrova Anna". Comme vous pouvez le voir, dans ce cas, les noms de famille changent également en fonction du sexe (masculin ou féminin, respectivement).
Une autre règle s'applique à ces nomspropres, qui sont d'origine de langue étrangère et se terminent par-eux ou sont formés à partir de formes figées (Smooth, Gray). De tels noms ne sont pas enclins. Les noms de famille tels que Zhivago, Semenyago et autres, se terminant par -ago, -yago, ne changent pas non plus.
Déclinaison des noms de famille masculins dans certains casdiffère des femmes. Donc, si à la fin de ce dernier il y a un son de consonne, alors ils ne changeront pas. Par exemple, vous pouvez dire: "Laissez parler Lilia allemand!", Mais: "Passez le sel à Vladimir allemand." Ainsi, les mêmes noms de famille, formés de manière non conventionnelle ou empruntés à d'autres langues, se terminant par un son consonantique, changent dans des cas comme les noms s'ils se réfèrent à des hommes, et se prononcent sous leur forme originale s'ils appartiennent à des femmes.
Une exception est la déclinaison des noms de famille arméniens. Dans ce cas, quel que soit le sexe auquel l'appel est adressé, il reste inchangé. Par exemple, "Karenu Martirosyan" ou "Diana Martirosyan".
De nombreux noms de famille russes se terminent par -ko. La plupart venaient de la langue ukrainienne (Shevchenko, Tarasenko, etc.). Ces mots ne changent pas non plus, peu importe à qui ils s'adressent: une femme ou un homme. Il est particulièrement important de prendre en compte ces nuances dans les documents officiels.
Déclinaison des noms avec un étrangerl'origine et se terminant par une voyelle (Dumas, Hugo, Zola) pose souvent des difficultés. Il faut se rappeler que dans ce cas, quelle que soit la référence, les mots ne changent pas. Dans le même temps, les noms de famille empruntés en russe avec un son non accentué -а (-ya) (Okudzhava, Varava, Kafka) à la fin sont inclinés selon le principe des noms. Les seules exceptions ici seront celles dans lesquelles la voyelle -i est l'avant-dernière. Par exemple, Garcia, Moriah.
Déclinaison des noms de famille, à la fin desquels se trouveson percussif - (Skovoroda), possible uniquement s'ils sont d'origine slave. Les mots empruntés restent inchangés (par exemple, les livres de Dumas). Les noms de famille masculins, à la fin desquels sont -e, -e, -u, -yu (Ordzhonikidze, Korojali, etc.), ne sont pas inclinés.
Dans les noms composés coréens ou vietnamiensseule la dernière partie est encline à l'origine. Dans les doubles noms de famille russes, les deux parties changent si chacune d'elles est utilisée sous une forme différente (par exemple, Lebedev-Kumach). Sinon, le premier mot doit être laissé dans sa forme originale (Skvoznik-Dmukhanovsky).
Les règles selon lesquelles les noms de famille sont refusés sont très importantes lors de la rédaction de divers documents ou simplement lors de la prise de contact avec un ami afin de ne pas entrer dans une situation délicate.