La loi pénale de 1960 a été l'une des plusactes justes et spécifiques adoptés dans cette industrie pendant toute la durée de son existence. Pendant cette période, l'acte le plus courant était l'acte en vertu de l'art. 206 du Code pénal de la RSFSR. À savoir, le hooliganisme, qui avait plusieurs variantes de manifestation dans l'environnement extérieur et, par conséquent, nécessitait une réglementation de la part des autorités.
Vandalisme. Du Code Pénal de la RSFSR
Les théoriciens sont souvent confrontés àproblèmes de la définition correcte de cet acte. Chaque loi interprète à sa manière la notion de ce crime, son côté objectif. L'essence même reste inchangée, mais une explication claire et concrète du sens n'est pas toujours obtenue. Cependant, le Code pénal de la RSFSR de 1960 établit un concept assez simple et clair.
Le hooliganisme est toujours négatif et mêmecomportement provocateur, qui s'exprime par un manque de respect non déguisé pour la société et contient des actions qui violent l'ordre établi. La clarification de l'attitude inappropriée envers la société est tout aussi importante que la question des règles adoptées, puisque ces critères ou même les conditions de ce crime sont fondamentaux et aident à déterminer sa composition qui, comme vous le savez, comporte quatre éléments obligatoires.
Côté objectif
L'article en question implique qu'il estil peut y avoir des actions visant à toute violation de l'ordre établi dans la société. En comparaissant, ils doivent démontrer un manque de respect manifeste pour la société. D'une manière ou d'une autre, ils offensent non pas une personne, mais tout un groupe de personnes, ce qui est obligatoire pour la qualification.
Crimes contre la sécurité publique etc'est exactement ce qu'est le hooliganisme, il touche toujours les intérêts de plusieurs groupes sociaux. En 1960, comme par la suite, ce genre de manifestation était très fréquent, les criminels tentaient de diverses manières de montrer leur manque de respect en raison de leur désaccord avec certains des fondements de la société.
Alors, dans quelles actions peut-onvandalisme? Contrairement au Code pénal de la Fédération de Russie, la loi de 1960 autorisait un tel comportement, qui n'est peut-être même plus assimilable à du hooliganisme. Il pouvait s'agir de langage grossier, de dommages matériels, voire de menaces de violence, il y avait souvent des cas d'utilisation de n'importe quelle arme, ainsi que du harcèlement qui offense les citoyens.
L'objet du crime au sens de l'art. 206 du Code pénal de la RSFSR
Les relations des membres de la société qui souffrent dela commission de tel ou tel acte est l'objet du crime. Le hooliganisme est un type de crime contre la sécurité et l'ordre publics. Les citoyens, leurs intérêts et leurs libertés, dans leur ensemble, souffrent toujours de cet acte, quelle que soit l'étape historique, qu'il s'agisse de la période soviétique ou du présent.
En plus de la sécurité publique, les deuxd'une caractéristique obligatoire, c'est-à-dire d'un objet, il peut y avoir des caractéristiques facultatives, que l'on retrouve assez souvent dans la composition d'un crime donné. Habituellement, les forces de l'ordre étaient détenues pour hooliganisme, enregistrant le fait d'un comportement irrespectueux et dangereux, mais il y avait souvent des déclarations de victimes, la présence d'un objet, par exemple des biens endommagés, qui sont des signes facultatifs d'un objet.
Signes subjectifs
Sujet et côté subjectif de chacunle crime commis sont des éléments importants de sa composition. Dans le cas du hooliganisme, le premier a des particularités. L'âge général de la responsabilité pénale en vertu du code de 1960 est de seize ans. Avec le fait de hooliganisme, cette règle reste inchangée, sauf dans les cas où elle est commise avec malveillance, c'est-à-dire avec un certain caractère qualificatif.
En conséquence, l'art.206 du code pénal de la RSFSR recense trois volets : un délit simple, un hooliganisme mesquin et malveillant - élément aggravant consacré dans la deuxième partie de l'article considéré. A cette époque, rien que pour l'acte commis conformément à cette partie de l'article, la responsabilité vient de quatorze ans, et non de seize ans.
Du côté subjectif, c'estl'attitude du criminel face à ce qu'il fait, la culpabilité doit toujours être présente, elle est obligatoire pour la qualification. Dans le hooliganisme, une personne ayant une intention directe commet des actions qui violent l'ordre public, empiètent sur la sécurité et reflètent un manque de respect manifeste pour la société.
Autres types de compositions
De l'art.206 du Code pénal de la RSFSR implique deux corpus delicti, qui sont à la fois aggravants et, au contraire, diminuant la peine. Le premier d'entre eux est le hooliganisme malveillant. Cette option impliquait un cynisme exceptionnel dans les actions du criminel, une résistance aux représentants des autorités, voire l'utilisation de tout objet comme arme. Cela comprend également la commission d'un acte par une personne qui a déjà été condamnée, c'est-à-dire un récidiviste.
Le deuxième line-up, déjà corrigé dans la troisième partieDe l'art. 206 du Code pénal de la RSFSR - petit hooliganisme. Elle implique peu de punition et n'est pas considérée comme aggravante. Pour la plupart, cette composition a été utilisée dans des cas d'émeutes de rue, pas très massives. Les combats étaient particulièrement répandus parmi la population jeune du pays, dispersée par les forces de l'ordre.
Responsabilité pour hooliganisme en vertu du Code pénal de la RSFSR
Les sanctions prévues par l'article 206 du code pénal de la RSFSR,sont très diverses, et certaines d'entre elles ne se retrouvent pas dans le droit actuel. Une telle punition était une censure publique très répandue à cette époque, dont on ne retrouve plus la mention aujourd'hui. Ce type de sanction était également prévu pour le hooliganisme, mais uniquement dans les cas de son type simple, c'est-à-dire en vertu d'une partie de l'article premier du code pénal de la RSFSR considérée.
En plus d'une sanction telle quecensure, la loi prévoyait également une amende, des travaux correctionnels et même l'emprisonnement. La peine maximale conformément à l'article 206 est de cinq ans d'emprisonnement pour hooliganisme malveillant. Il s'agit de la punition la plus sévère en vertu de cette norme. Il y avait aussi une composition qui ne prévoyait pas du tout ce type de mesure, à savoir le petit hooliganisme, consacré par la troisième partie de l'article 206 du code pénal de la RSFSR.