Comment gérer la toxicomanie?Cette question intéresse la société moderne, car la distribution et la consommation de drogues sont un problème mondial qui touche des dizaines de grands pays économiquement développés. Malheureusement, chaque année, il y a de plus en plus de toxicomanes. Aujourd'hui, il existe plus de 20 types de médicaments, dont la plupart sont interdits en Russie et dans d'autres pays du monde.
Как избавиться от наркомании, сказать очень dur. Malgré les interdictions de distribution de drogues, la responsabilité pénale pour la vente de ces substances, le nombre de toxicomanes augmente à un rythme arithmétique. Environ 30 millions de personnes dans le monde consomment des drogues, dont la plupart sont des personnes âgées de 15 à 20 ans. La lutte contre ce phénomène est nécessaire et la prévention de la toxicomanie doit commencer dès l'enfance.
L'école est un lieu où:travail préventif pour lutter contre la toxicomanie, promotion d'un mode de vie sain, création de conditions psychologiques normales. Pour travailler avec des adolescents difficiles et à risque, des psychologues et des éducateurs sociaux devraient être impliqués.
La prévention de la dépendance à l'école devrait avoirconcentration individuelle, car chaque adolescent a des traits de personnalité, des expériences, des problèmes, des intérêts et des opinions. Les enseignants, ayant une vaste expérience du travail avec les enfants, devraient leur expliquer les causes de la toxicomanie, parler des symptômes de la maladie, des conséquences possibles qui surviennent après l'utilisation de substances psychotropes. Les types de médicaments les plus courants dans les affaires clandestines ne peuvent être ignorés. Il vaut mieux que l'enfant l'apprenne des lèvres d'un enseignant professionnel ou d'un psychologue que de «goûter» immédiatement de l'ecstasy ou du LSD.
La prévention de la toxicomanie doit avoir unconcept pédagogique. Premièrement, il est nécessaire d'obtenir des informations primaires sur les attitudes des adolescents à l'égard des drogues. Cela permettra de différencier les groupes en sous-groupes enclins et non enclins à utiliser des substances psychotropes. Vous pouvez obtenir ces informations en testant avec des étudiants. Si vous obtenez des réponses telles que «J'essaierais des drogues pour ne pas me démarquer de mes pairs», alors cela vaut la peine de «sonner l'alarme» et de mettre ces élèves sous contrôle spécial.
Deuxièmement, l'enseignant principal devrait enseignerleurs enfants pour qu'ils puissent défendre leur opinion dans la société, avoir leur propre vision de la vie et ne pas avoir peur de ressembler à des moutons noirs entre amis et pairs. Cet objectif aidera les enfants à surmonter les difficultés de la vie, les conflits avec leurs proches, sans aller aux extrêmes, c'est-à-dire sans consommer de drogues.
Troisièmement, chaque enseignant expérimenté devraitd'étudier la relation entre les enfants et les parents, le niveau de revenu familial, le lieu de résidence de l'enfant et, bien sûr, la relation en classe, car les problèmes dans ces domaines, dans la plupart des cas, poussent les adolescents à consommer d'abord des substances psychotropes légères, puis des drogues plus lourdes.
Si des problèmes sont identifiés, l'enseignant est tenu de signalerà un travailleur social et à un psychologue qui sélectionneront une méthodologie individuelle pour travailler avec l'enfant et ses parents, animeront des discussions en classe en cas de conflits et aideront à soulager une dépression nerveuse.
La prévention de la toxicomanie est le seul remède pourlutter contre cette maladie qui a acquis une coloration mondiale. Pour éviter la mort de toute la jeune génération, qui est l'avenir de notre pays, il est nécessaire de lutter précisément contre les causes de la toxicomanie et non avec ses conséquences. Après tout, il est impossible de forcer une personne à renoncer à la drogue jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle est malade. Mais dans la plupart des cas, cette prise de conscience ne se produit pas en raison du fait que de nombreux toxicomanes ne vivent pas à la hauteur de cela, en raison de surdoses ou de maladies mortelles acquises.