Le terme « participe » est apparu au XVIIe siècle etcomposé de deux parties (dee + participe). Il s'agit d'une forme de verbe qui nomme une action supplémentaire secondaire dans une phrase. En termes grammaticaux, il est très similaire à un adverbe, car il ne change pas. L'analyse morphologique des gérondifs consiste à n'indiquer que des signes permanents, elle n'en a pas de volage.
Analyse morphologique du participe
1. Nommez la partie du discours, indiquez le sens grammatical général.
2. Lister les caractéristiques morphologiques :
- indiquer la forme initiale (forme indéfinie du verbe) ;
- revenir;
- vue;
- transitivité ;
- l'immuabilité.
3. Déterminez le rôle syntaxique qu'il joue dans la phrase.
Faites attention!
Parfois, il peut être difficile de distinguer les participes et lesgérondifs. Pour y faire face, vous devez comprendre que le participe, le participe et le verbe sont des formes verbales, ce qui signifie qu'ils sont associés au sens de l'action. Tout d'abord, des questions aideront à les distinguer. Les formes conjuguées du verbe répondent aux questions suivantes : « qu'est-ce que je fais ? », « qu'est-ce que je vais faire ? », « qu'est-ce que j'ai fait ? et d'autres. Le participe adverbial peut être posé la question « qu'est-ce qui fait ? ou « avoir fait quoi ? », ainsi que sémantique, syntaxique, aidant à déterminer son rôle dans la phrase : « comment ? », « quand ? », « pourquoi ? ». Par exemple : piétiner, main dans la main, autour du feu (écraser comment ?). Après avoir terminé l'exercice, les gars ont levé la main (levé quand ?). Malade, je suis allé à l'hôpital (quand êtes-vous allé ?).
Pour la Sainte-Cène, vous pouvez poser la question « qu'est-ce qu'il fait ? », « qu'a-t-il fait ? », « qu'a-t-il fait ?
De plus, lors de la distinction à la fois des participes et des gérondifs, les suffixes aident :
- un participe adverbial imparfait est formé à partir du radical d'un verbe au présent d'une forme imparfaite à l'aide du suffixe -а, (-я): lire - lire, vivre - vivre;
- un participe adverbial parfait se forme à partir de la base de l'infinitif de la forme parfaite à l'aide du suffixe -v, -lice, -shi : faire - avoir fait, avoir fait, tomber - être tombé, être tombé.
De plus, lors de l'analyse morphologique des gérondifs, il est nécessaire d'indiquer sa récurrence : retournable (avec le suffixe -sya, -s) et irréversible (non retournable).
Les participes simples perdent parfois des signesverbes et deviennent des adverbes. Dans ce cas, les participes anciens ne désignent plus une action supplémentaire (ils ne sont pas remplacés par des formes verbales, ils ne répondent pas aux questions « avoir fait quoi ? », « Faire quoi ? », mais désignent seulement un signe d'action et répondre à la question "comment?". Par exemple : Les gars m'ont écouté en silence (ont-ils écouté comment ? - en silence, c'est un adverbe, pas un gérondif).
L'analyse morphologique est effectuée nécessairement dans le contexte, en écrivant les gérondifs avec le verbe, dont il signifie l'action supplémentaire.
Analyse morphologique écrite du participe
Le pyatak, tintant et rebondissant, roulait le long de la route.
Sonnerie (roulement)
1. Sonnerie - dépr.
2. Roulé (comment ? Que faire ?) Sonnerie. N.F. - sonner.
Morph. signes : nesov. in., unreturn., unpert., non signalé.
3. (Comment ? Que faire ?) Sonnerie.
Rebondir (rouler)
1. Rebondir - cerf.
2. Roulé (comment ? Que faire ?) Rebondissant. N.F. - rebondir.
Morph. signes : nesov. in., unreturn., unpert., non signalé.
3. (Comment ? Que faire ?) Rebondir.
Analyse morphologique orale du participe
Sonnerie (roulement)
1. Sonnerie - un participe verbal, désigne une action secondaire.
2. Roulé (comment ? Que faire ?) Sonnerie. La forme initiale est de sonner.
Signes morphologiques : forme imparfaite, forme verbale irréversible, intransitive, immuable.
3. Dans la phrase, la circonstance joue le rôle syntaxique.
Rebondir (rouler)
1. Sauter est un participe verbal, dénote une action secondaire.
2. Roulé (comment ? Que faire ?) Rebondissant. La forme initiale est de rebondir.
Signes morphologiques : forme imparfaite, forme verbale irréversible, intransitive, immuable.
3. Dans la phrase, la circonstance joue le rôle syntaxique.