Scénariste et réalisateur belge de renom JacotVan Dormel est l'auteur des films les plus beaux, les plus extraordinaires et carrément uniques. Ses œuvres ne se contentent pas d'attirer étroitement l'écran, mais obligent le spectateur à réfléchir à des problèmes mondiaux qui peuvent parfois changer la vision du monde.
Vers le cinéma
Pour le poste de créateur de films spectaculaires, Jaco vanDormel n'était pas jeune. Dans son adolescence, il a travaillé dans un cirque, jouant le rôle d'un clown lors de fêtes d'enfants. Pour Jacot, ce fut un tournant : il s'est rendu compte qu'il devait donner de la joie aux gens, il s'est rendu compte qu'il devient lui-même heureux du sourire de son voisin. Il entre donc à l'École nationale supérieure des arts du spectacle de Bruxelles à la Faculté de production cinématographique. Comme tous les étudiants réussis des universités théâtrales, il commence à tourner ses premiers courts métrages au contenu philosophique et comique. Après avoir été diplômé de son pays natal, Jaco van Dormel se rend à Paris et y entre au lycée Louis Lumière. Après la délivrance d'un deuxième diplôme, le nouveau réalisateur commence à créer ses propres longs métrages, mais ne les tamponne pas les uns après les autres. Chaque scénario, chaque production sur laquelle travaille van Dormel est une œuvre d'art qui a été créée au fil des ans.
Premier emploi
En 1991, un jeune de 34 ans etun réalisateur talentueux, dont le nom n'est pas encore connu du monde, sort le premier film. Jaco van Dormel l'a appelé "Toto le héros" et a décrit l'histoire tragique et très déroutante de deux jeunes là-bas. Selon le complot, deux garçons, Thomas et Alfred, sont sauvés de l'hôpital en feu. En grandissant, un seul d'entre eux réussit. Thomas, entouré de problèmes et d'épreuves, commence à penser que la substitution est la cause de ses malheurs. Il croit qu'Alfred lui a simplement volé son destin. La première de cette image a donné au créateur une renommée mondiale. Le film a remporté le Prix de la Caméra d'Or au Festival de Cannes, ainsi que le Prix César.
Un chef-d'œuvre que tout le monde a oublié
Trois ans après la première acclamée de Jacotvan Dormel présente dans le même Cannes son nouveau travail - "Day Eight". L'intrigue, comme la dernière fois, est construite autour de deux hommes, dont les destins sont opposés. L'un d'eux est un homme d'affaires, à première vue, prospère et prospère. Le second souffre de trisomie 21, mais garde en même temps un esprit positif et une foi en le bien. Au jour huit, van Dormel laisse le spectateur seul avec la question : « Lequel d'entre eux est vraiment heureux et lequel est vraiment malheureux ? Cette photo a été présentée dans la nomination "Meilleur acteur", et les lauriers ont été partagés par Daniel Otoy et Pascal Duquesne.
13 ans plus tard
Après une année 1996 couronnée de succès, le monde est lentement devenuoublier le brillant réalisateur belge. Cinq ans plus tard, Jaco s'est mis au travail. Un scénario ingénieux et très complexe mûrissait dans sa tête, qui comprenait non seulement le sort des gens, mais aussi un problème aussi global que le temps, son essence et sa signification dans la vie de l'univers. Le travail sur le nouveau scénario a duré 8 ans, le créateur était à la recherche d'acteurs, d'environnements et de lieux de tournage idéaux. Et en 2009, la première est sortie sur grand écran - "Mister Nobody". Jaco van Dormel travaille pour la première fois avec des acteurs américains, réalise pour la première fois un film en anglais et dispose pour la première fois d'un budget de 37 millions d'euros, un chiffre fabuleux selon les standards belges. "Mister Nobody" a reçu les prix "Golden Ozelles" et "Biography" à Cannes, à Venise il était en tête de la nomination "Golden Lion". Cette image a été reconnue par la critique européenne comme la meilleure production biographique à orientation philosophique.
Comment Jaco van Dormel écrirait-il à la Bible ?
Filmographie de ce grand belgeréalisateur, scénariste et producteur n'est pas trop étendu. Jaco enlève rarement ses chefs-d'œuvre, mais proprement, et en 2015, il nous l'a encore prouvé, c'est-à-dire pour la quatrième fois. Une comédie intitulée "Le Nouveau Testament" est sortie sur les écrans, dans laquelle il ne s'agit "pas seulement de religion". Van Dormel nous a montré Dieu, non pas sous la forme d'un vieil homme aux cheveux gris sur un nuage, mais sous la forme d'un oncle grincheux qui vit à Bruxelles et porte constamment une terrible robe graisseuse. De plus, le « Royaume de Dieu » n'est pas du tout un paradis dans lequel seuls les hommes règnent. Il s'agit d'un appartement ordinaire où vit une famille, dirigée par le Père Créateur, bordée par sa femme et ses deux enfants - un fils et une fille. Le réalisateur admet qu'il ne voulait ainsi pas ridiculiser ou offenser les sentiments des croyants. Il a simplement montré que l'autoritarisme et le patriarcat sont des fondements ridicules sur lesquels vit la société.
Faits intéressants sur van Dormel
- La vie de Jaco a failli être écourtée dans le premierminutes de son existence. Il a subi un terrible traumatisme à la naissance, après quoi il a à peine survécu. C'est pourquoi il accepte son être comme un cadeau spécial et croit qu'il n'en est même pas digne.
- Van Dormel aime la ville de Bruxelles.Il y vit presque toute sa vie et profite de sa beauté grise et pluvieuse. Assez souvent, le réalisateur descend dans les rues de la capitale belge pour simplement les photographier.